Faute d’analystes à se mettre sous la dent en cette fin de semaine, il nous reste l’exubérant CEO de Microsoft qui a affirmé devant un parterre d’investiseurs que le danger venait plus de Linux et de Windows (XP) que de MacOS X, ce dernier n’ayant gagné que quelques 2 points de parts de marché.
Désopilant non ?